J’ai réalisé, en fouinant mon blog, que je n’avais pas parlé de littérature depuis quasiment un an et quelle honte pour une littéraire comme moi! Pourquoi cette photo de Beigbeder? C’est simple, d’une, comme je vous le rabâche assez souvent ,j’ apprécie énormément l’écrivain (oui, j’ai bien dit écrivain) et même l’homme me fait rire. Et de deux, j’ai relu deux de ses bouquins, récemment, Windows on the world (certainement mon livre préféré) et L’amour dure trois ans (histoire de me convaincre que c’est à peu près faux). Donc, oui, pour illustrer mon article, j’ai du me décarcasser pour trouver une image où on ne voyait pas le Beigbeder clubbeur ou le Beigbeder pas-beau en photo pas-jolie. Dur, tout cela. Bref, nous y voilà, fin prêts à débuter cet article après du blabla inutile.
Je vais faire plutôt rapide pour ce soir car demain matin, la route des vacances m’oblige à me lever tôt ( 5:00 am, les amis) et je promet d’être plus assidue à mes lectures à partir de septembre (ou même avant) mais là, je vais juste me contenter d’énumérer mes lectures estivales. Dans mon sac/ma valise, vous pouvez trouver:
*L’instinct de mort de Jacques Mesrine. J’avais commencé à le lire, il y a plusieurs années, quand j’étais à fond dans les affaires judiciaires puis j’avais laché (bêtement) l’affaire. Je m’y suis remise après la sortie des films, pas le temps. Je crois que cette fois-ci est la bonne, je m’y accroche et je réalise que les films collent pas mal aux bouquins et surtout aux dialogues. Bref, une jolie découverte que je devrais terminer dans les jours à venir.
* La Consolante d’Anna Gavalda. Anna Gavalda, j’accroche à 3000% avec Ensemble c’est tout mais justement c’est tout. J’ai pourtant essayé mais j’y arrive pas. Donc, là, loin de la pollution qui domine mon cerveau, je vais tenter de résister à l’écriture gavaldatesque et de terminer mon petit pavé.
*Et en parlant de pavé, à la fin de l’été, je me remets aux classiques, j’ai envie de relire du Zola, du Hugo mais.. l’idée qui me trotte surtout dans la tête, c’est.. Belle du seigneur d’Albert Cohen. Et ça, je peux qu’en vouloir aux Solal qui trainent dans mon environnement, en ce moment. Héhé.
Et vous, les quelques âmes charitables qui passez par ici, de la lecture prévue?